L'épagneul tibétain, petit chien passion

Bien que séculaire, la race de l'épagneul du Tibet est encore assez rare et méconnue dans nos contrées. Il ne fut introduit chez nous qu'il y a une centaine d'années. Son pays d'origine ? Le Tibet et ses hauts plateaux, très froids et très secs ! En résulte un petit chien robuste conçu pour 'survivre' en ces lieux hostiles, avec un caractère bien trempé ! Cabochard, facécieux, très intelligent, extrêmement obstiné et indépendant ... Certains le décrivent comme un chien - chat - singe. Rien que ça, et oui !

Anciennement, il était le compagnon des moines, et chien 'veilleur' des monstères, alertant les impressionnants Do Khyis en bas des murailles, de toute présence étrangère. Aujourd'hui, il est le chien idéal de celui qui sait apprécier un compagnon indépendant et tellement attachant !

Voici comment Birgit Primig introduit son livre consacré à cette race vraiment 'particulière' :

"L'épagneul tibétain, un grand chien dans un petit corps." Ed. Books on Demand

'Prenez garde, l'épagneul tibétain n'est pas n'importe quel chien pour n'importe quelle personne. C'est un chien particulier que seules des personnes particulières peuvent aimer et apprécier. Ainsi l'affirment les fans et les éleveurs du monde entier.'

Photo : Christine Vier - Poppy & Roxane, mes petites elfes au bois

Petite présentation 'historique'

Je vous présente mon tout petit élevage passion, une nichée à l'occasion : les épagneuls tibétains de l'Old Rock Valley (HK 01800100).

J'habite Vielsalm, une petite localité mondialement connue pour son coticule (pierre aux qualités abrasives rares), ou de son nom commercial, la pierre à rasoir.

Ici le nom de l'Old Rock a été très réputé. Il représentait à la fois une société, un site d'extraction souterrain, une veine et un label de qualité.

Malheureusement, ces activités d'extraction et de transformation du coticule en pierre à rasoir ont pratiquement disparu.

J'ai donc voulu faire un clin d'oeil à ce patrimoine exceptionnel en choisissant le nom de mon élevage.

Photo : Christine Vier - Veine de coticule